Errance...

Un long chemin rocailleux se dresse devant le guerrier.La foret l'entoure.Il est seul.

Les bruits qui retentissent autour de lui ne sont pas rassurants. Mais l'épée qu'il a ceint le rassure. Sa poignée d'or fin, incrustée de pierres précieuses pour s'adapter parfaitement a ses doigts est dissimulée sous sa cape. Pas de fourreau, trop emcombrant. Personne aux alentours.

-Donne nous ta bourse et toutes tes possessions, et on te promet une mort très rapide.

-Comptez la-dessus, et la terre rougirat!

Il sort son épée, pret a tuer."Je dois me calmer, suis-je venu pour tuer des innocents"se dit-il?"Non!Je parcours mes terres afin de mieux les connaitres."

Pourtant, il s'avance, ses yeux habituellement gris, devenus bleu, d'un bleu glacé.L'envie de meurtre reprends le dessus...




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P.S:a vous de faire intevenir vos personnages si l'envie vous prends.mais laissez moi le soin d'ouvrir une boucherie.

"Que dois-je faire?Ils sont 7!que, 7..."

Warran, accroupit derriere un arbre, contemplait la scène.Son ami de toujours, s'avancant vers des brigands. Depuis ses 7 ans, lancelot était possédé. Chaque fois qu'il était en présence de personnes hostiles, la vie s'étaignait peu a peu autour de lui.

-Vous, etes, morts, mécréants!

Lancelot continue d'avancer, les bandits cherchent une issue, ils savent leur mort proche.Cet homme est seul, mais une armée tremblerait en voyant ce regard.
Warran s'accroupit, attendant que lancelot reprenne ses esprits...
















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a toi lancelot!

Alexisolidis, possédait un château à quelques milles du lieu où la scène s' était passée, il vit les deux hommes entourés de sept corps presque inanimés lors de son habituelle promenade.

-Je souhaite des expli... Il vit les yeux de l' homme, je... vois que vous êtes des excellents guerriers. Vous êtes les nouveaux de Millenium ? Je suis ravie après cette démonstration !

Lancelot, l'un des membres de votre alliance. Voici warran, mon compagnon, et ces hommes étaient de modestes brigands.
Vous connaissez sans doute la légende des "yeux de glace"?Je suis le dernier représentant de ce clan.Mais, mon ami vous relateras l'histoire, autour d'un verre de hergred.

Sur ce, il se leva, et sortit de la clairière. Il leva les yeux vers le ciel:"Une terre ne reste jamais éternellement blanche ou marron, elle devient toujours rouge"...

Une fois a la taverne,

-Laisse, Warran.Je me charge de raconter...

Le clan des Bénoïcs est le clan qui abrite le plus de seigneurs de guerre au monde.
De père en fils,l'art du combat et de la guerre est une priorité.Mais, nous sommes tellement nombreux, que chaque jeune homme de 12 ans, passe un examen.
S'il réussi cet examen, il recevras une éducation digne de ce nom, jusqu'a la maturité.
Mais, cet examen n'est pas de la pacotille...
Des enfants, qui ont ris, mangés, dormis ensembles, qui ont partagés leurs reves, leurs vie privée, sont amenés, a se tuer. Nous sommes répartis par groupes de deux. Le vainqueur réussiras l'examen. Mais, seul un peut ressortir de l'arene.Nous ne pouvions pas déclencher nos yeux de glace.

Mais, les regles ont dut etres modifiées, suite a l'apparition d'un véritable démon.Il a, sans une once d'hésitation, exterminé la cinquantaine de quandidats.Depuis, je suis surnomé "le démon aux yeux de glace".

Alexisolidis, soyez sans crainte. Si les yeux de glace me prennent en votre présence, montrez moi ce parchemin.

Après lui avoir donné le parchemin, Lancelot leur souhaita bonne nuit, et monta se coucher.

Alexisolidis salua Lancelot, puis se tourna vers Warran et dit en montrant le parchemin

J' ai pas intéret à l' oublier celui là ! Et vous racontez moi votre histoire ?

oh!et bien moi, mon histoire n'est pas palpitante.

Je suis issu du clan des Spartans, et, quelques années en arrière...

"En l’an 544,le pays de zinconne était ravagé par la guerre. La contrée de zach était la plus pacifique et la plus fertile, la province de zoch la défendait à tous prix (après le mariage entre leurs princes et princesses, quoi de plus normal !) et je pourrai vous cité une dizaine d’autre contrée les unes pacifiques et les autres abritant les guerriers les plus chevronnés qui sois.
L’une trouvait son royaume trop peu fertile et tout et tout. C’était , le royaumes de GZORRES.

Les contrées sortaient leurs guerriers, les habitants se réfugiant derrière les rassurantes murailles, se cachaient, la peur d’être anéantis par les guerriers de gzorres sortant de leur forteresse par millions leur nouant le ventre .Mais ,tout espoirs n’était pas perdu :le royaume de spartan abritait 50 guerriers nommés :SPARTANS.

Ces guerriers étaient formés depuis leur plus jeune age à être des combattants hors du commun. Leur chef se nommait Karzar. C’était une brute épaisse, craint et respecté par ses compagnons. C’était lui aussi un combattants hors du commun mais encore meilleur que ses compagnons. Tous sauf un. Il se nommait Warran. Né dans le royaume de Gzorres, il était imbattable en combat rapproché . Sa peau bronzée et ses yeux gris, brûlants de compassion , de gentillesse pour ses amis mais aussi de cruauté pour ses ennemis, ses cheveux châtains hochant entre le clair et le foncé, noués sur sa nuque par un lacet de cuir noir, son nez en trompette, sa poitrine musclée et ses épaules larges en faisaient un beau jeune homme de 18 ans.
Warran était un jeune homme discret avec ses compagnons. Lors des longues soirées ou Karzar leur parlait de guerre, guerre, et encore guerre, Warran était discret, réservé, absent, et même carrément sur une autre planète!
Lors d’une de ces soirées, Warran avait revêtit un manteau de cuir vert et était assis dans son fauteuil favori et il rêvassait lorsqu’il se sentit interpellé:
« -Warran ! tu ne f…iche rien ! Toi qui te dit meilleur guerrier que moi, que nous tous, montre moi ce que tu as dans le ventre !!!!!! »
Le silence tombe ; le jour ce lève. Warran se lève lentement, pose son manteau sur la chaise, et quitte la pièce et va dans la cour de ce magnifique château qu’est celui des Spartans. Il se plaça à sa place favorite : dos au pont-levis. Il dégaine son glaive, Karzar sortit sa grosse et lourde hache de combat. Les 48 Spartans restants vont dans la loge : aucuns ne doute de l’issue du combat.
-Es-tu sur de ce que tu fais Karzar ?
-Tu vas connaître la peur Warran !!!
Karzar se jette sur Warran en lui portant un coup destiné à l’éventrer. Warran recule d’un pas, aussi tranquillement qu’un sculpteur le fait pour admirer son œuvre. Karzar retrouve sa hache plantée dans le sol et sent l’acier froid du glaive lui toucher la gorge. Puis se retirer, retourner dans son fourreau, et son propriétaire retourner chercher son manteau.
« -Je suis toujours votre chef Spartans, n’est-ce pas ?!
Pas de réponse ;les Spartans félicitent leur nouveau chef : Warran. Deux mois s’étaient écoulés après cette cuisante défaite. Au château des Spartans, la vie était plus « douce et paisible ». Mais la vie de guerrier hors du commun est ponctuée de guerres. Un messager arrivât au château des Spartans, tenant à peine sur sa selle. Arrivé dans la cour, il s’écroulât, face contre terre, à moitié mort. Warran, qui était à son entraînement matinal, fit venir un médecin et transportât le blessé jusque dans ses appartements. Une fois étendu sur le lit de Warran, le blessé cracha un jet de sang. Le médecin lui enlevât le heaume qui masquait son visage, et toute l’assistance découvrit un visage fin, des yeux mis-clos laissant visibles des iris d’un bleu éclatant, on nez aquilin et des boucles blondes courants sur ses épaules. Il n’avait pas plus de douze ans. Le médecin préparât des décoctions, des pansements et demandât à toute l’assistance de sortir. Warran fût le seul autorisé à rester :
« -C’est terrible. Il est si jeune.
-En effet, mais il a de la chance : l’épée qui s’est plantée dans son ventre n’a touchée aucun organe. Elle a juste perforé deux côtes. Ne vous inquiétez pas, messire Warran : il s’en sortira.
-Chut ! Il essaie de dire quelque chose!
Les deux hommes se penchèrent et l’enfant parvint à articuler :
-Je me nomme Selios. Le roi de Planates est assiégé dans sa forteresse, à 12 lieues d’ici. Il vous demande de lui venir en aide. De grâce messire : ne me soignez pas et allez aider mon roi. Il peut encore tenir 2 mois. Après ils devront se rendre. Je préfère mourir pour ma patrie que de la savoir disparue. Faites vite !
Et il s’évanouit sur ces mots.
-Albar, soigne le. Je le veux sur pieds à mon retour ! Compris ?
-Oui mon seigneur.
Sur ce, Warran sortit de la pièce et se dirigea vers la chambre de son lieutenant.
-Olgins !
-Oui monseigneur ?
-Réunis tous les hommes : qu’ils soient prêts et armés dans une demi-prems* !
-D’accords !
Warran sortit et fût doublé par Olgins qui courait.

Dans la cour, une demi-prems plus tard :
« -Spartans ! Notre allié, le roi de Planates, est assiégé. Allons nous rester les bras croisés, l’air de dire débrouille toi tous seul ? Ou allons nous lui porter secours ? Vous connaissez la réponse ! Cet homme dînera avec nous dans sa forteresse ce soir ! Suivez moi !Hurla Warran.
Après un dixième de prems de chevauchée, le château de Planates fût en vue.
-Mort aux Gzorriens !
-Mort aux Gzorriens !Répétât l’écho produit par 49 voix de Spartans.

Les Spartans chargèrent leurs ennemis avec la force d’un ouragan. Karzar sautât de cheval et fit le vide autour de lui. Warran plongeât sa lance dans la poitrine d’un soldat et, le soulevât de terre et le soldat ne se relevât plus. Warran sortit son glaive. Un soldat se relevât, titubât, et prit quatre coups de glaives dans la tête.

Un guetteur du château de Planates ayant donné l’alerte, les soldats de Gzorres se retrouvaient cernés de deux cotés. Les forces ennemies diminuaient considérablement, tandis que les soldats de Planates taillaient tout sur leur passage, furieux d’avoir étés affamés. Warran se retrouvait à terre et tuait tout autour de lui. Un Gzorrien tentât de lui transpercer le ventre, mais Warran pivotât, tout en ramenant horizontalement son glaive vers sa hanche gauche. Le Gzorrien stoppât net son mouvement et baissât les yeux vers sa ceinture. Le tronc tombât d’un côté et les jambes restèrent immobiles puis s’écroulèrent. Warran rengainait son glaive apprès avoir tué les 14 Gzorriens restant en moins de 10 secondes. Un silence de mort planait sur le champs de bataille.

Après les remerciements, la cour de Planates préparat un festin inimaginable.
« - Monseigneur, je ne saurais comment vous remercier. Aussi, je ne peut que vous jurer aide et soutient pour cette guerre. Je vous demande une dernière faveur : pourriez vous assister au mariage de ma fille ? Un riche seigneur, fourbe et cruel, m’a vaincu en duel singulier. L’enjeu était la main de ma fille, ou son soutient pour la guerre à venir. Si cet homme vous voyait, il croirait surement que ma fille est sous votre protection. Elle serait beaucoup mieux traitée.
-Après un si long discourt, je ne peut vous le refuser. Je viendrait avec 5 de mes hommes."

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Bon, je l'avoue: c'est le début de mon roman.

Alexisolidis réfléchit longuement, il hésita entre rester et partir avec des inconnus. Il fit le choix le plus improbable

Je décide de partir avec vous pour connaître l' aventure, et en ce qui concerne le mouvement, je peux également en produire, je suis plutôt fine lame.

Il serra ensuite la main de lancelot comme pour marquer un accord. Il attendit ensuite le réveil de Warran.

-Merci d'avoir accépté.Voyager avec warran, qui est plutot devenu pacifique, se révèle ennyuant.

La route sur laquelle les trois nouveaux compagnons chevauchaient était semée de bosquets, assez larges pour contenir au moins Quatre brigands.

-Et moi je maintient que me reveiller avec un seau d'eau glacée n'était pas necessaire.lanca warran.

Tout était calme.Mais, quand on cherche l'aventure, elle ne tarde jamais...


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allez alex.invente un truc!

Soudain,les trois amis entendirent un crépitement plutot inquiétant...
Les personnages regardèrent alors tous d'une direction,et Sarshier arriva.

-Eh bien.Je vois que vous avez besoin d'hommes.L'aventure,j'aime ça.
Je manie aussi bien l'arc que l'épée.Puis-je me joindre a vous?

Il leur adressa une petite révérence.

-Mais bien entendu.Vous êtes le bienvenu.Un archer nous seras bien utile.

Plus tard, ils entraient dans une foret.Tout était calme...

Alexisolidis regarda l' Homme, sourit et lui serra la main

C' est vrai qui nous manquait un vé ritable archer, je sais m' en servir, mais bon, je suis plus habile avec une épée...

-Bon, tout le monde est pret?

La foret est vraiment trop calme.Les arbres touffus offrent d'exellentes possibiltés de cachettes.Sans compter les nombreux arbustres.Mais, le ciel clair était encore visible.

-Tiens, le ciel s'assombrit.

-Mais non, lancelot, tu...

Tout devient noir. Lancelot ne ressent rien. Sauf le coup de gourdin qu'il a recu sur le crane...

Alexisolidis vit un homme jaillir d' un arbre sur lancelot un gourdin à la main

Tu... te fais attaquer !

Alexisolidis n' eût pas le temps d' empêcher l' homme de frapper lancelot, mais lorsqu' il voulut le frapper une deuxième fois, Alexisolidis prit son épée et lui transperça la peau du coquin, lancelot était inconscient et les autres compagnons de route choqués.

-que...que s'est il passé?

-Un brigand t'a assomé a l'aide d'un gourdin.Mais Alexisolidis l'a tué.

-Je ne m'en souvient meme pas. Et ...ATTENTION!

Lancelot eût a peine le temps de se jeter sur warran, déjà la flèche transpercait le tronc, a l'endroit où la tete de warran était quelques minutes plus tot.
-Ils sont revenus!Mais ils ne sont pas experimentés. Si mes yeux se déclenchent, fuyez!

Dès qu'il eut fini sa phrase,l'un des brigands se jetat sur lui.Il n'eût pas le temps de tirer son épée, que les gredin était déjà sur lui.Lancelot le saisit a la gorge, et tout en se relevant, le souleva de terre, et lui frappat la tete contre une pierre.
Alexisolidis achevait son deuxième adversaire, Sarshier épuisait ses flèches, et warran tuait son adversaire.
Mécontent, non seulement d'avoir été assomé, mais en plus de n'avoir tué qu'un brigand, lancelot tira son épée, d'un seul mouvement, la ramena contre sa anche gauche, décrivit un arc de cercle vertical et lanca son épée sur la poitrine d'un brigand.Trois cadabres tombaient a terre.

-Et bien, je crois qu'ils sont morts.

Les autres hommes aidaient a ramasser les flèches, pendant qu'il empilait les cadavres.

-Dorenavant, je vote pour que l'on ne fasse plus de feux.

Warran écartat une meche trempé de sueur de son front: ce n'est pas la sienne.

-Lancelot, tu viens d'avoir la première bonne idée de ce voyage.

Sarshier ramassa les dernieres flèches utilisables.

-Eh bien mes amis,ce ciel ne me dit rien qui vaille...
Je propose que l'on continue jusqu'a en trouver la source,
des autres troupes ne tarderons pas a arriver.
On devrait mieux bouger...

Alexisolidis, qui aprrouva la décison, sortit un bout de tissu pour stopper l' hemoragie du tronc de warran

Sarshier a raison, il faut qu' on parte, ils reviendront sinon toujours plus nombreux !

Sarshier vena alors a coté de Warran.

-Alexisolidis,je te propose ceci.C'est un médicament artisanal que
je fabrique moi-meme.Ca sert a arreter les hémoragies assez lourdes.
Imbibez-en sur votre tissu puis gardez la sur la plaie comme ceci.Je pense que ca
devrait etre plus rapide et efficace,mais ca risque d'etre un peu douloureux.

Il tenda un petit flacon d'une couleur rougeatre au seigneur Alexisolidis.

Alexisolidis le prit et appliqua les consignes que lui avait fournies Sarshier, Warran gigota mais Alexisolidis avec l' aide de Sarshier put le retenir le temps de lui faire sa compresse.

He bien ! Tu t' en sors bien ! dit il à Warran